
Comment se fait-il qu’aujourd’hui tu t’orientes vers le développement personnel ?
Depuis toujours j’ai un réel attrait pour l’être humain et l’analyse de son fonctionnement pour ne pas dire son dysfonctionnement, à commencer par le mien 🙂 .
Très jeune j’ai remarqué que certains de mes comportements et certaines de mes émotions n’étaient pas en adéquation avec ce que je voulais être ou ressentir.
C’est le manque d’amour de moi et mon propre jugement sur moi-même qui m’ont fait sortir de mes gonds et m’ont poussée vers le développement personnel. Changement de vie qui n’est donc pas anodin
Quelle a été ta motivation?
Je crois fondamentalement en l’être humain et sa capacité d’évolution. Je suis enthousiaste à l’idée de l’aider à exploiter au mieux toutes ses ressources. J’ai rencontré des personnes ayant eu des traumas divers, et à travers ces rencontres j’ai pu constater que nous avons tous en nous les capacités de surmonter ces difficultés. Nous ne savons simplement pas toujours comment nous y prendre pour y arriver.
Tu as choisi la PNL et le SEB, pourquoi?
J’ai choisi la PNL et le SEB, pour deux raison, je les connais en tant que patiente, et puis surtout parce que ces outils engagent des valeurs importantes pour moi.
La PNL satisfait ma valeur de liberté de conscience et de non jugement. Un des présupposés de la PNL est « La carte n’est pas le territoire » . Nous ne connaissons pas la réalité seulement les perceptions. Chacun a sa propre carte filtrée par ses propres croyances, sa propre perception de la réalité et part ses sens.
Le SEB m’a réconcilié avec la douceur et la compassion que j’avais du mal à exprimer et ressentir.
En quoi se différencient-ils des autres outils?
Ce sont des thérapies essentiellement centrées sur la résolution des problèmes, contrairement aux approches plus classiques axée sur leur compréhension.
Aussi, elles ont l’avantage de rétablir l’équilibre entre le corps et l’esprit. Je crois fermement que les émotions, qu’elles soient positives ou négatives, ont un impact sur notre corps et vice et versa.
par S. Papyllon